“Ca ne pouvait plus manqué. Dans la nuit de mardi au mercredi, nous avons rendu des visites incendiaires nocturnes à un chantier de Besix à Gand et à son partner in crime, le bureau d’architectes Bontinck. Ces deux sont co-résponsables pour la construction d’un nouveau centre fermé et camp de deportation pour des sans-papiers à Steenokkerzeel. Cette expression de rage ne tombe pas du ciel et n’est qu’une petite suite à l’agitation en cours ces dernières années contre les centres fermés avec commes dernières faits de guerres la semaine d’action à Bruxelles contre la politique de deportation de l’Etat belge.
Beaucoup de personnes ont été arrêtées, humiliées, insultées et frappées… quelqu’uns restent encore derrière les barreaux. Notre acte de sabotage ne signifie probablement pas grand chose dans la machinerie de ce qui cherche à enchaîner la vie de beaucoup, mais qu’il soit clair que notre crispation de rage vient bel et bien du dégoût qu’on a pour ce qui enferme les humains.
Voilà… pour plus de désordre.”
7/10/2010
Traduit de http://ovl.indymedia.org/news/2010/10/30800.php
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